Votre recherche “Auteur: Michel Onfray” 5 résultats
Ajouter à une liste
Éditeur :
Seuil (Le), 2002
L'auteur est handicapé suite à un accident à la naissance. Passionné de philosophie, il livre ses réflexions sur l'art d'être un homme, le rapport au corps, la souffrance et les relations entre les hommes, sans ressentiment ni colère, d'une manière heureuse
Ajouter à une liste
Éditeur :
Éd. du Seuil, 2002
Voilà un petit livre. Court, mais essentiel. À la limite de la philosophie. Alexandre Jollien est "anormal". Voire, aux yeux de certains, "un débile". Quel débile… La parole fonctionne au ralenti mais l'esprit est bien là, vivant, incisif. Plus humain que jamais. Que personne. Le "métier d'homme" ne consisterait-il pas à "éviter la blessure engendrée par des considérations trop hâtives, de s'astr...(Lire la suite)
Ajouter à une liste
Éditeur :
Éd. du Seuil, 2002
" Je suis un anormal. On l'a dit, assez. Je l'ai senti. Les mouvements des yeux qui passent à l'examen chaque parcelle de mon être me l'apprennent : tel regard fixe le mien puis descend, là précisément où se trouve la preuve qu'il recherche : "il est handicapé". Parcours des yeux, quête insistante du talon d'Achille, de la faiblesse. Ce que la plupart des gens perçoivent, c'est l'étrangeté des ge...(Lire la suite)
Ajouter à une liste
Éditeur :
Éd. du Seuil, 2002
« Alexandre Jollien a subi un accident de naissance. Strangulé par son cordon ombilical, il a brièvement mais trop longuement rencontré la mort dans ces minutes inaugurales consacrées d’habitude à l’épiphanie de la vie. L’oxygène ayant manqué au cerveau, il porte en lui, avec lui, dans le creux de sa matière grise, la trace du souffle de la mort qui, jour après jour, dans le détail, se manifeste ...(Lire la suite)
Ajouter à une liste
Éditeur :
Éd. du Seuil, 2002
« Alexandre Jollien a subi un accident de naissance. Strangulé par son cordon ombilical, il a brièvement mais trop longuement rencontré la mort dans ces minutes inaugurales consacrées d’habitude à l’épiphanie de la vie. L’oxygène ayant manqué au cerveau, il porte en lui, avec lui, dans le creux de sa matière grise, la trace du souffle de la mort qui, jour après jour, dans le détail, se manifeste ...(Lire la suite)